Cette semaine dans votre podcast, nous avons abordé le sujet de l’avenir…
Se positionner dans notre peau. Nous parler à nous même… Mais au futur…
En tant qu’être humain, notre cerveau nous ramène bien évidemment toujours à la sécurité.
Qu’avons nous déjà fait?
Que maîtrisons nous?
Que connaissons-nous ?
Sur quoi pouvons-nous nous reposer ?
Comme base, comme socle, comme ancrage.
Bien sûr, notre passé, nos expériences, nos échecs, nos « défauts », nos habitudes…
Mais alors, est-ce que en plus de nous freiner dans l’élaboration de nouveaux objectifs, cela ne nous ferait pas stagner ?
Combien de fois nous lamentons nous sur des choses arrivées dans notre passé ?
Événements inchangeables,mais tellement ancrés, comme tatoués dans notre chair.
Nous sommes tous pareils, pas d’inquiétude. Mais si on trouvait des outils? Des moyens de changer nos schémas, nos habitudes.
Bien sûr que l’outil du « futur nous » est clef. C’est une habitude indispensable à mettre en place dans notre quotidien.
Une fois un objectif, un rêve ou une envie bien défini(e), pourquoi ne pas se placer en position de créateur plutôt qu’en position de débutant?
Comment, moi, une fois mon objectif réalisé, je pourrais être, me sentir, réfléchir et agir.
Avec ce résultat déjà réalisé.
Comme être mieux guidé, créer un message motivant pour notre esprit en lui présentant l’objectif déjà atteint. Et les effets bénéfiques que cela aurait sur nous.
Et si la meilleure des questions après « que voudrais je faire dans cinq ans » ou « qui voudrais je être dans cinq ans », c’était « que me dirais-je alors, à mon « moi actuel » ? »
« Que dirais mon moi de 2026, à mon moi d’aujourd’hui? » « Serais-je dans cette appréhension de ne pas savoir comment y arriver? »
Et bien non. Puisque j’y serai déjà…
« Serais-je effrayé(e) par les choses que je ne maîtrise pas encore, où serais-je en confiance, car en 2026 j’aurais appris à appréhender ces nouveaux « outils » ? »
Qui de mieux que nous-même pour trouver les mots? Pour nous rassurer, et nous guider en bienveillance ?
Alors c’est parti.
Au travail avec l’exercice de cette semaine, et je vous dis à la semaine prochaine
Julie