Avez-vous déjà remarqué comme parfois, lorsqu’on ne se sent pas bien, nous avons tendance à nous reporter sur la nourriture.
De manière excessive ou alors au contraire sous une forme de rejet?
Comme si nous avions ce besoin de nous remplir avec « autre chose » que notre tristesse, ou bien au contraire, comme si nous avions l’appétit coupé, tellement notre état émotionnel nous « saturait »…
Je suis sûre que nous avons tous au moins une fois ressenti ces deux extrêmes.
Mais alors pourquoi?
Pourquoi est-ce que certaines personnes, quand elles ne vont pas bien, vont aller se réfugier dans la nourriture et pourquoi d’autres, au contraire, ne pourront « rien avaler ».
Pourquoi cette relation à la nourriture peut-elle être si différente d’une personne à l’autre, traduisant parfois le même mal-être, mais sous une réaction différente.
Et bien parce que tout vient de notre façon de gérer nos émotions….
Chaque individu, a sa manière propre de gérer son stress, sa colère, sa tristesse ou même sa joie….
Cela étant généré par nos croyances, notre éducation. Par nos pensées en fait….
Cette relation est donc forgée, bâtie, sur différents critères.
Pour ma part, comme pour beaucoup d’entre nous, mon mécanisme de défense passait (et passe encore parfois) en grande partie par la nourriture…
Cette sensation de me sentir en sécurité, protégée, en avalant quelques aliments peut paraitre complètement « grotesque », mais au fond, si on y réfléchit, nous en sommes tous là…. A nous engourdir dans ces pics de dopamine, de plaisir immédiat, afin d’oublier tout ce qui va mal….
On nous l’a apprit, comme je l’explique dans le podcast de cette semaine, mais pourquoi avons nous choisit de prendre cela comme moyen « de défense »?
Pourquoi la nourriture nous permet t elle parfois d’avoir cet effet tampon?
Et bien parce qu’on nous as toujours dit que si nous allions mal, que si nous avions mal, manger un bonbon, ou croquer dans un carré de chocolat nous ferait du bien.
Et cela s’explique chimiquement, physiologiquement, biologiquement…
Ce pic de plaisir que notre corps connait lorsqu’on lui donne de la nourriture, peut parfois nous donner l’ivresse de ne pas vouloir vivre tout un tas d’émotions négatives…
Cela pour oublier… Pour avoir l’impression de nous faire nous sentir mieux….
Mais si on choisissait d’être honnête avec nous même…
De nous avouer que cela ne sert à rien…
Que chercher à repousser notre vie émotionnelle, ce n’est que nous faire plus de mal, sans en tirer de bénéfices…
Est ce que cette bouchée a t elle vraiment réussit à me faire oublier ce stress de la journée?
Est ce que ce chocolat va vraiment m’aider à surmonter cette dispute si désagréable?
Est ce que, ne mettre aucune limite dans cet échange, dans cette relation, va vraiment m’apporter du positif?
Ou suis je en train de me complaire dans une relation toxique et inutile?Alors réfléchissons y… Repenser notre relation à la nourriture, c’est aussi repenser notre relation avec nous même…
Avec ce que j’autorise et ce que je ne veux plus dans mon quotidien…
Pour enfin toucher, frôler, la vie que je souhaite vraiment pour moi….
Parce que nous le méritons, parce que c’est ça qui compte aujourd’hui pour nous
Et si vous sentez que vous avez besoin d’aide pour démarrer ce processus, je reste à votre entière disposition. Envoyez moi un mail à julielapresle@yahoo.com, un mot, vos questions, vos interrogations. Je me ferais un plaisir d’y répondre et de vous aider à mieux comprendre vos fonctionnements et vous aider à appliquer les bons outils. A vous poser les bonnes questions 😉
A vous soutenir. A être présente et à vous conseiller.
A très vite
Julie